Monsieur,
Je vous transmets en PJ la contribution de notre laboratoire. Nous pensons en effet avoir identifié la forme sur laquelle vous nous consultez. Nous vous serions obligés de nous tenir informés des suites de vos observations.
Avec nos salutations les meilleures,
CS pour Labo B8 / CTMNote d’hypothèse n° 4628 BX 983 / LaRJ20032009
concernant une apparition de forme
CS pour Labo B8 / CTMNote d’hypothèse n° 4628 BX 983 / LaRJ20032009
concernant une apparition de forme
Rappel des faits observés :
Dans la journée du vendredi 20 mars 2009, il a été constaté l'apparition d'une forme "étrange" dans un peuplier aux abords de la source du Stanco, à la Roche Jagu. Située à une quinzaine de mètres du sol, dans un arbre déjà recouvert de lierre, il s'agit d'une forme circulaire d'environ 1,50 à 2 m de diamètre, ayant une épaisseur d'environ 50 cm, et trouée en son centre. D'une couleur brun-orangée, elle semble recouverte d'un liquide blanchâtre et de bâtonnets de diverses couleurs que l’on peut qualifier de spores.
La description physique de l’objet permet d’avancer l’hypothèse d’identification d’une cible migratoire.
Il a en effet été constaté plusieurs fois au cours de l’histoire récente que des formes de tout ou partie d’une représentation cartographique d’un lieu précis de la planète se trouvaient apparaître aux abords d’un peuplier ou directement sur cet arbre.
Le peuplier est étymologiquement et historiquement un arbre qui a toujours servi de repère dans les migrations de populations humaines. Sur le lieu d’observation du phénomène, la proximité d’une source renforce la probabilité de l’hypothèse. L’environnement immédiat de ce peuplier confirme le caractère accueillant, serein et propice de l’endroit. Enfin, le toponyme (stanco, de l’italien « fatigué ») laisse clairement envisager que la cible migratoire identifie comme souvent un lieu de repos pour un peuple lassé par ailleurs.
Dans la journée du vendredi 20 mars 2009, il a été constaté l'apparition d'une forme "étrange" dans un peuplier aux abords de la source du Stanco, à la Roche Jagu. Située à une quinzaine de mètres du sol, dans un arbre déjà recouvert de lierre, il s'agit d'une forme circulaire d'environ 1,50 à 2 m de diamètre, ayant une épaisseur d'environ 50 cm, et trouée en son centre. D'une couleur brun-orangée, elle semble recouverte d'un liquide blanchâtre et de bâtonnets de diverses couleurs que l’on peut qualifier de spores.
La description physique de l’objet permet d’avancer l’hypothèse d’identification d’une cible migratoire.
Il a en effet été constaté plusieurs fois au cours de l’histoire récente que des formes de tout ou partie d’une représentation cartographique d’un lieu précis de la planète se trouvaient apparaître aux abords d’un peuplier ou directement sur cet arbre.
Le peuplier est étymologiquement et historiquement un arbre qui a toujours servi de repère dans les migrations de populations humaines. Sur le lieu d’observation du phénomène, la proximité d’une source renforce la probabilité de l’hypothèse. L’environnement immédiat de ce peuplier confirme le caractère accueillant, serein et propice de l’endroit. Enfin, le toponyme (stanco, de l’italien « fatigué ») laisse clairement envisager que la cible migratoire identifie comme souvent un lieu de repos pour un peuple lassé par ailleurs.

A partir de ces mots-clés (peuple, repos, fraîcheur, sérénité) nous avons lancé notre moteur de recherche afin d’identifier la zone d’origine migrationnelle. Les résultats les plus affinés permettent d’isoler avec 82 % de probablitude l’Archipel de Palestine orientale.
Restait à reconnaître un lieu précis, quasiment homothétique de la forme retrouvée à la Roche Jagu. Nous émettons sur ce dernier point deux hypothèses :
- L’île de Kalkiliya
- La plus méridionale des îles ramalliotes occidentales
Le document photographique dont nous disposons ne nous permet pas de préciser plus avant la recherche. Nous sommes heureux de vous adresser une carte de l’Archipel avec laquelle vous pourrez poursuivre l’investigation comparative.
Nous vous conseillons de ne pas toucher la cible : les « bâtonnets » et « spores » sont très certainement des vivres permettant d’organiser le premier repas dit de l’arrivée. Quant au trou que vous avez noté en son centre, c’est un usage fréquemment observé, et qui n’a d’autre fonction que de toujours permettre de voir un peu plus loin.
En tout état de cause, nous vous invitons à préparer la faune et la flore environnant la cible migratoire d’une arrivée imminente et probablement nocturne d’humanité.
Laboratoire B8
Centre Transnational des Migrations
Mars 2009
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