Ainsi le rond de parc, le Parcron, n’est-il pas image de sa divinité, mais divinité en soi. Il nous faut Le mirifier, Le splendifier, l’oindre de gloire et de mots pleins de voyelles, comme nos curs. Car nous L’adorons, le Parcron, et nous Lui décernons le titre de Chevalier
De l’Ordre de nos Curs,
De l’Orre de nos Codeurs,
De l’Odeur de nos Corres.
De l’Orre de nos Codeurs,
De l’Odeur de nos Corres.
Implosons, implosons. Hurlons notre absolu Amour,
Absolu AmourAbsolu Amour
de Lui.
Car c’est l’éternel printemps qu’il amène, qui met la sève aux troncs et leur suc aux trous.
Laurent
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